DEUXIÈME PARTIE.
De l’homme et de certains systèmes organiques : observés en lui, les quels
concourent à l’exécution de ses actions.
L’HOMME, véritable produit de la nature, terme absolu de tout ce qu’elle a pu
faire exister de plus éminent sur notre globe, est un corps vivant qui fait
partie du règne animal, appartient à la classe des mammifères, et tient par ses
rapports aux quadrumanes dont il est distingué par diverses modifications, tant
dans sa taille, sa forme, sa stature, que dans son organisation intérieure ;
modifications qu’il doit aux habitudes qu’il a prises et à sa supériorité qui
l’a rendu dominant sur tous les êtres de ce globe, et lui a permis de s’y
multiplier, de s’y répandre partout, et d’y comprimer la multiplication de
celles des autres races d’animaux qui auraient pu lui disputer l’empire de la
force.
Il tient la supériorité dont il vient d’être question, d’une part, de son
intelligence qui est de
|